L'oeil
de
Pénélope
SANDRINE
ou
Comment écrire encore des spectacles quand on est féministe (et qu'on aime la pole dance)
Solo chorégraphique et théâtral
Travail à la frontière de la danse, du théâtre et de l’anthropologie
Terrain d’immersion : la pole dance
Du mot anglais pole qui signifie poteau
Littéralement danse autour d’un poteau
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Après avoir interrogé des femmes de marin [Attendre n’est pas mourir, mais ça y ressemble]
Après s’être immergée dans le milieu de la chasse [Gibier, à poil ! ]
Voilà que depuis septembre 2016, Solène expérimente un nouveau terrain d’étude : celui de la pole dance.
L’histoire commence toujours de la même façon :
Partir à la découverte d’un monde inconnu, en apprendre les règles, intégrer les codes, faire corps avec lui.
La pole ? Questionner cette discipline, ses aprioris, l’image qu’elle renvoie.
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Interprète et directrice du projet : Solène Cerutti
Création musicale et regard complice : Lucie Malbosc
Guitariste studio : Pierre Rosset
Regard chorégraphique : Karine Vayssettes
Regard complice : Chantal Joblon
Création lumières : Camille Olivier
Chargée de production : Anne-Sophie Hansch
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Production : L'oeil de Pénélope
Coproduction : L'Horizon - La Rochelle (17) / OARA - Résidences Hors les murs / Ville de Niort (79) / Département des Landes / SPEDIDAM
Accueils en résidence et soutien : La Pratique - Atelier de fabrique artistique à Vatan (36) / La stabule, Cheptel Aléïkoum - St Agil (41) / Réservoir Danse Le Garage - Rennes (35) / Container - Angresse (40) / CREA - St Georges de Didonne (17) / Cirque en Scène - Niort (79) / Espace AGAPIT - Saint Maixent l'Ecole (79) / Tout va bien – Soustons (40)
Remerciements : Clémentine Mallein, Stéphane Pelliccia, Rolande Racary, Bruno de Saint Chaffray, Marie-Luce Rosset, Famille Gachen, Valérie Sabut ; ainsi qu’aux penseuses en sociologie/anthropologie/sexologie autour de la pole dance Marie Potvain, Tracie Nain, Aurore Leriche.
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Attention ! Spectacle recommandé à partir de 15 ans (niveau Lycée) !
Rien de choquant ou de déplacé, mais il questionne parfois de manière trop crue pour le jeune public .
Photo de cette page : Alexandre Barre et Garance Li